Service de ponçage lustrage du carrelage marbre et monochouche…

Redonnez une âme à vos sols, Algérois !

Vous en avez assez de ces carrelages qui grincent, de ce marbre qui a perdu sa fierté, de ces joints qui ressemblent à des cicatrices ? vous êtes au bon endroit… ici, à Alger, on respire les sols depuis si longtemps qu’on reconnaît un zellige des années 60 au son qu’il fait sous la semelle.

Notre histoire ? une bande de têtus qui croient encore au travail bien fait. le genre à préférer les mains calleuses aux gants blancs. vous savez, ces clients qui nous font des signes depuis leur voiture en criant « c’est vous qui avez sauvé mon carrelage ! » ? ça, c’est notre vraie pub.

Ce qu’on vous mijote (accrochez vos ceintures) :

Les incontournables

  • Ponçage marbre façon chirurgie de précision (notre marque de fabrique depuis le premier jour)
  • Lustrage carrelage qui fait briller même les vieilles dalles de la Djenina
  • Cristallisation pour pierres qui ont vu défiler des générations
  • Polissage à l’ancienne, comme papy le faisait avec ses outils rouillés
  • Décapage de carrelage de cuisine qui a survécu à des années de couscous pressés

Les petits plus qui changent tout

  • Vitrages nettoyés au millimètre près (même les traces de doigts des gosses)
  • Jardinage façon artiste : nos gars taillent les haies en sifflotant du Raï
  • Fin de chantier ? on récupère les gravats et les doutes en même temps
  • Désherbage à la main, parce que les mauvaises herbes méritent aussi du respect

Notre cœur de métier

  • Béton qu’on transforme en miroir (oui, même celui du parking de la rue Didouche)
  • Résine appliquée avec la patience d’un enlumineur
  • Ponçage industriel pour les sols qui en voient de toutes les couleurs

Pour les pros qui n’ont pas le temps de niaiser

  • Cuisines de restos où le carrelage encaisse tajines et coups de feu
  • Cours d’école redessinées à la craie… et au béton ciré
  • Entrepôts qui retrouvent leur dignité perdue

Nos histoires de chantier

L’autre jour, mon pote Karim m’appelle en panique : « viens voir mon appart’ près de la Grande Poste, c’est la cata ! ». entre les traces de peinture et le carrelage ébréché, même sa mère refusait de mettre les pieds dans la cuisine. trois jours de ponçage musclé, un zeste de cristallisation… quand il a revu ses sols, il a juré qu’on avait dû tout remplacer. la meilleure récompense ? son sourire en coin.

Dans une villa du quartier Hydra, une dame voulait carrément arracher son marbre terni. « laissez-moi juste une semaine », qu’on lui a dit. après le ponçage, elle a posé ses mains tremblantes sur la surface : « c’est comme si mon père l’avait fait poser hier ». ces moments-là, ça vous donne des frissons dans le dos.

Le mois dernier, chantier de folie dans une bâtisse ottomane de la Casbah. sous des couches de vieux lino, un carrelage français des années 30 ! les ouvriers ont bossé comme des archéologues, brossant chaque carreau avec des brosses en chiendent. le résultat ? le propriétaire, un vieux monsieur, a pleuré en retrouvant le sol de son enfance.

Notre approche unique

Notre truc, c’est de surprendre. quand on débarque pour un nettoyage post-travaux, les clients nous regardent comme si on allait marcher sur l’eau. « vous n’allez jamais y arriver », qu’ils soupirent. puis, trois balais magiques plus tard, ils se demandent si on n’a pas des fées dans l’équipe.

Les jardins ? une passion qu’on cultive comme le jasmin. notre dernier coup d’éclat ? un terrain vague près de Bab El Oued transformé en oasis. les voisins viennent maintenant y boire le thé entre les rosiers qu’on a plantés.

Alger, on la connaît comme notre poche. les sols en tomettes des villas coloniales de Belcourt, le béton brut des nouveaux immeubles d’El Mohammadia… chaque quartier a son odeur, ses défis. et ces cuisines de restaurant du centre-ville, où le carrelage endure des nuits de service marathon – on les répare avec la même ardeur qu’on met à déguster un bon méchoui.

Notre secret

La semaine dernière, coup de cœur dans un vieil appart du Ruisseau. sous trois couches de moquette miteuse, un marbre rose oublié depuis les années 70. après le ponçage, la propriétaire a dansé pieds nus sur les veines de la pierre. « c’est comme retrouver un bijou de famille », qu’elle a chuchoté.

Notre secret ? traiter chaque chantier comme s’il était celui de tante Zohra. pas de discours, pas de blabla – juste du boulot qui parle de lui-même. et quand on remet les clés, ce petit clignement d’œil complice… c’est ça, notre vraie facture.

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